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Groupe de Reflexion et d'Action pour le Tchad
"Un blog Indépendant qui va au délà de l'actualité"

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                                             « Informer sans tabous et sans mensonges »

20 février 2016 6 20 /02 /février /2016 09:58
16 filles enceintes après l’éjaculation d’un garçon dans une piscine

C’est en Floride aux Etats-Unis, courant le mois de janvier de cette année que Tommy Coulter, un garçon de 16 ans a engrossé 16 filles en une seule éjaculation. Selon le site Herald Tallahassee, le puissant père aurait eu une éjaculation accidentelle dans une piscine publique. Tommy Coulter a avoué que c’était un accident et qu’il n’a pas eu de rapports sexuels dans la piscine.

L’âge des nouvelles mères varie entre 13 et 17 ans. Durant une simple fête d’anniversaire, la piscine s’est transformée en un géant tube de laboratoire: le jeune qui est devenu depuis lors une star dans sa ville, y a éjaculé sans avertissement. Des félicitations fusent à son endroit. Pour cause: sa performance hors du commun.

Dr. John Suzukima de Tallahassee Memorial Hospital Healthcare, qui était le premier à relier les naissances multiples à une seule cause, estime que le jeune homme a une rare maladie appelée spermafortis, qui rend son sperme exceptionnellement puissant.

«Ce genre de sperme est assez similaire à celui des mammifères d’eau communs, tels que les dauphins, les lamantins et les phoques et a des propriétés qui le rendent incroyablement résistant à l’eau. Cette condition pourrait certainement expliquer ce qui est arrivé dans ce cas, mais les essais cliniques et d’autres tests seraient nécessaires pour prouver cette théorie », a-t-il déclaré aux journalistes locaux.

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 14:03
Tchad : Victime d’un viol collectif , Zouhoura témoigne

Le 8 février, Zouhoura, Tchadienne de 16 ans, a été violée par cinq hommes qui ont filmé et posté leur crime sur les réseaux sociaux. Sur France 24, l’adolescente revient sur son agression, qui a provoqué une vague d’indignation au Tchad.

« Ils m’ont pris et ils m’ont emmenée dans un endroit inconnu. Là, ils ont commencé à me déshabiller et à me prendre en photo », raconte Zouhoura, baissant les yeux face à la caméra alors qu’elle se remémore ses agresseurs « en train de s’amuser et de rigoler », à ses dépens. Cette jeune tchadienne a été enlevée puis violée par cinq hommes, le 8 février.

Sommée de garder le silence par ses agresseurs, la jeune femme – fille d’un opposant politique tchadien, Mahamat Yesko Brahim – n’a pas cédé à la menace : elle a révélé l’agression à sa famille, dans un pays où l’omerta règne sur le sujet. « Ils m’avaient demandé de ne rien dire mais j’ai raconté à mes parents, je ne pouvais pas faire autrement », poursuit Zouhoura dans une interview accordée à France 24. Le jour même, la famille porte plainte mais l’affaire est étouffée.

Ce qui n’empêchera pas les agresseurs, en guise de représailles, de mettre en ligne une vidéo – retirée depuis – sur les réseaux sociaux, montrant la jeune fille nue et en larmes. Mais plutôt que de susciter l’indifférence, la vidéo a provoqué un tollé au Tchad. Lundi 15 février, des centaines de manifestants se sont rassemblés dans les rues de Ndjamena pour demander justice pour Zouhoura et toutes les victimes de violences sexuelles.

Mais les manifestations ont dégénéré. Elles ont été violemment réprimées par la police anti-émeute et l’un des protestataires, un jeune homme de 17 ans, a été tué par balle par la police lors de la dispersion. Le procureur général a assuré que « les éléments des forces de l’ordre mis en cause dans l’affaire seront mis aux arrêts et traduits devant les tribunaux ».

« Que justice soit faite »

Les agresseurs présumés ont, quant à eux, finalement été arrêtés et transférés devant le parquet de Ndjamena, mardi 16 février. Et ce qui n’était alors qu’un fait divers grave a viré à l’incident politique : selon la presse locale, deux d’entre eux seraient des fils de généraux tchadiens. Le procureur n’a cependant pas confirmé ces accusations.

« Dès que nous avons pris connaissance de ces images et sans qu’aucune plainte ne soit déposée à notre parquet, nous avons déclenché l’action publique en instruisant la police judiciaire pour mener des enquêtes (…). La police a pu interpeller et déférer au parquet les cinq violeurs et leur quatre complices », a annoncé à la presse le procureur général, Louapambe Mahouli Bruno.

Réagissant au viol de la jeune fille le jour des manifestations, le président tchadien, Idriss Déby Itno, avait dénoncé un acte « ignoble » et promis que les coupables seraient punis. « C’est en père de famille scandalisé que je réagis (…) à cet acte barbare, ignoble et innommable », a déclaré le chef de l’État dans un communiqué, promettant que « justice sera rendue ». C’est la seule chose que souhaite désormais la jeune femme. « Je veux que justice soit faite et que cela ne se reproduise plus jamais », a déclaré Zouhoura à France 24.

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14 février 2016 7 14 /02 /février /2016 16:38
Les visages  des 6 kidnappeurs et violeurs de Zahoura.

(Photo Tchad Today)/. Les parents ont mis le pays à genoux ! Les fils violent en plein jour ! Qui pour sauver le Tchad ? Le Tchad est infesté par une pourriture de militaro-politiciens et leurs racailles. En effet, il ne se passe presque pas un jour sans que les sujets de vol, de viol, de détournement, d’arrestation, d’assassinat etc. soient à la UNE de nos débats.

Et voilà que 6 violeurs, fils des autorités du pays ont défié la société et l’Etat. 6 jeunes pas du tout éduqués, des délinquant qui n’ont rien dans le cœur, rien dans la tête, ont violé une jeune fille et ont filmé toute la scène qu’ils ont ensuite divulguée sur différents téléphones portables par bluetooth et même sur les réseaux sociaux…

Ce sont des internautes qui ont été les premiers à s’indigner de cette vidéo postée par ces mêmes kidnappeur-violeurs. L’image de la malheureuse n’a pas fini de faire le tour des téléphones portable et du monde car, les images de la scène du viol défilent sur facebook.

La monstruosité du viol ! La vidéo présente les scènes, les plus traumatisantes de l'histoire du viol. Insoutenables ! A ce jour, ce viol aggravé est resté impuni et les coupables se promènent sans crainte. Serions-nous dans une jungle ?

Le constat est général. Silence coupable! Silence total des autorités qui pensent tant que le pétrole coule, le pays va bien et le vol et le viol et les assassinats ne méritent pas qu'on se prononce !

J’accuse le Président, j’accuse le Gouvernement ! Parlez, condamnez et agissez même s'il le faut pour votre propre conscience et compte tenu de la responsabilité très lourde devant DIEU et les hommes d'être les capitaines, les pères, les grands-pères de plusieurs millions de personnes.

Ces délinquants, pas du tout éduqués, nourris par le lait de la haine et du banditisme sont :

  • Sallhadine Moussa Faki (fils du ministre des affaires extérieures et de l'intégration africaine) ;
  • Mahamat Bahr Issakha (fils du Général Bahr Issakha Ex com Groupement N1 de la DGSSIE) ;
  • Abderaman Tidjani alias Djounga (fils du Général Tidjani Miss) ;
  • Mahamat Bichara alias Mahamat Naoura (fils du Général Bichara) ;
  • Mahamat Barradine (fils du Général Baradine Hissein) et Hassan ..
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13 février 2016 6 13 /02 /février /2016 17:35
Ndjamena :  les lesbiennes ouvrent leur carnet intime!

« Aujourd’hui quand deux filles se battent à Ndjaména, c’est aussi à cause de l’amour que chacune d’elle porte pour une autre fille. Un triangle amoureux entre lesbiennes qui a certainement mal tourné à cause de la jalousie. De la polyandrie entre lesbiennes ». C’est par ces propos que notre guide qui se fait appeler « Savimbi » nous fait entrer dans le secret des lesbiennes de Ndjaména. « Moi je vis de ça car je suis un entremetteur. Elles me connaissent toutes. Ce sont des affaires » lance « Savimbi » en nous montrant la fenêtre d’une chambre qui laisse voir une lumière rouge tamisée. « C’est chez Fafa, une de mes clientes. Elle n’aime que les européennes et les arabes…»

Les pratiques lesbiennes atteignent des proportions insoupçonnées dans la capitale tchadienne en pleine mutation. Ce phénomène est devenu monnaie courante dans des milieux jusque-là non atteints. Même, certaines femmes mariées n'y échappent pas. Elles s'adonnent à cette pratique durant les séances de retrouvailles périodiques qu'elles organisent dans des milieux clos. Même le monde estudiantin voire professionnel est touché de pleins fouets par ce phénomène passé sous silence. Il y a trois mois de cela, un couple de lesbiennes a été pris par la police dans une auberge à Ndjaména. L’une mariée, mère d’un enfant et l’autre célibataire. Chacune d’elle a payé 250 000 avant d’être libérée… La corruption est passée par là ! Moursal, Milezi, Bolobo, Ridina, Toukra, Fondoré, Sabangali, Gassi, Amsinéné, Farcha, etc sont des repères de lesbiennes. Tchadiennes, camerounaises, françaises, soudanaises, Nigérianes, centrafricaines, nigériennes, libyennes, etc, donnent du tonus à cette pratique contre nature. « Je suis habitué à régler les scènes de ménage du quartier, mais de plus en plus je gère celle des lesbiennes » a susurré un policier.

Les tchadiens ont toujours condamné cette relation entre deux personnes de même sexe, jugée contre nature et condamnée par la censure sociale. Face à cette censure, les lesbiennes se sont cachées pendant longtemps. Elles entretenaient des relations amoureuses dans la cachette et la discrétion la plus absolue. Cependant depuis un moment, nous constatons qu'elles s'affichent et exhibent leur appartenance à ce club sans honte ni vergogne mais avec une fierté inexplicable. En effet, le lesbianisme est récurrent dans notre société. Comment sont-elles arrivées là ? Les raisons avancées sont diverses.

La nommée F.A. est responsable dans un magasin qui vend des produits cosmétiques. Divorcée, mère de deux enfants, elle est lesbienne. Elle se laisse aller à des confidences « Je le suis devenue depuis le collège. A l'époque, j'étais dans un établissement exclusivement réservé aux jeunes filles. Je faisais également partie d'une équipe de basketteuses. Ce fut le début d'une nouvelle vie pour moi ».

Les étudiantes sont aussi contaminées : « Je suis devenue lesbienne à cause de ma voisine de chambre. À chaque fois que je m'apprêtais à prendre mon bain, elle ne cessait de me complimenter pour ma belle poitrine. Un jour, elle m'a caressée les seins. Contre toute attente, j'ai éprouvé un vif plaisir. Du coup, je l'ai laissée faire. Depuis lors, j'ai pris goût à ses attouchements ». Le propos est d'une étudiante.

Un autre témoignage d'une étudiante qui préfère garder l'anonymat, en dit long sur l'ampleur du phénomène dans ce milieu. « C’est par le biais de l'internet que j'ai connu une fille camerounaise, lesbienne qui m'a ensuite influencée. Elle habite à Kousserie. Sur le site, elle avait fait une annonce comme quoi, elle est à la recherche de fille lesbienne, tout en prenant le soin de notre « les hommes à s'abstenir ». Comme j'étais connectée, j'ai échangé des messages avec elle. Par la suite, cela a abouti à des échanges de numéros téléphoniques. Depuis ce jour, on échange des messages de déclaration d'amour. Notre première rencontre a eu lieu chez une de ses amie à Farcha ; elle aussi lesbienne. Depuis notre rencontre, on s'adonne à des caresses très osées, chaque fois que l’occasion se présente.

NA est mariée à un employé d’une grande Banque. Elle se livre à un témoignage poignant « Mon mari rentre toujours ivre et n’arrive jamais à me satisfaire sexuellement. Pour éviter les autres hommes et surtout les maladies, je préfère me satisfaire avec une amie soudanaise… ça se passe bien entre nous. Il faut dire que je ressens à chaque rencontre un plaisir que je n'ai jamais connu avant. Je suis dépendante de ses caresses sexuelles »

« Le milieu est très lucratif » nous informe une centrafricaine. Réfugiée au Tchad depuis 3 ans qui avoue nourrir sa famille avec cette pratique qui paye mieux et te donne un énorme plaisir sans te fatiguer.

Certaines affirment ne jamais avoir été satisfaite par un homme, les femmes ne jouissant pas aussi vite que les hommes, et pour qu'une femme arrive à ce niveau de plaisir intense, il lui faut des préliminaires et autres petits câlins. Or la majorité des hommes, au cours des ébats sexuels ne prête presque pas attention aux différents détailles. Ils préfèrent passer directement à l'acte et éjaculer sans se soucier de ce que ressent leur partenaire. Seuls, la satisfaction et le plaisir libidinal le préoccupe

Nombreuses sont ces jeunes filles qui pratiquent l'homosexualité et qui ont des attirances pour des femmes malgré elles. Elles naissent, grandissent et finissent par accepter ces désirs sexuels qualifiés de contre nature.

Certaines filles sont devenues lesbiennes par curiosité ou par gôut de lucre. Elles voulaient essayer afin de voir ce que cela faisait et de fois pour se faire un peu de sou et y sont restées au point que les hommes ne leur disent plus rien… C’est le cas de ces deux policières qui ne ratent aucune occasion pour se faire plaisir même au commissariat.

Les lesbiennes revendiquent leur liberté et le droit de s'aimer. Elles se distinguent à travers des alliances qu'elles portent au petit orteil du pied comme pour dire qu'elles sont occupées. Bientôt, elles vont s'embrasser en public, se promener la main dans la main... Se tabasser, se quereller, s'injurier pour une autre fille au vu et au su de tous. M Meurdé.

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8 février 2016 1 08 /02 /février /2016 17:11
Recrudescence de la pédophilie à Doba et à bébédjia

(Photo illustrative)./ « Le pétrole est une malédiction pour nous !» Cette phrase du vieux Maradé (nom d’emprunt) résume certaines situations notées dans la zone dont la pédophilie. La pédophilie a pris des allures inquiétantes dans les villes comme Doba et Bébédjia où l'on enregistre de dizaine de cas par mois, a-t-on appris de sources concordantes mais dignes de foi.

Selon ces sources, les victimes de cette pratique se retrouvent surtout parmi les adolescentes orphelines ou issues de familles monoparentales placées sous la tutelle d'oncles et de grands parents qui n'hésitent pas à abuser d'elles ou qui les laissent sans protection ni défense face à l'agression des membres ou des amis de la famille plus âgés), plus nantis ou encore de jeunes filles nées d'un second mariage.

La recrudescence de ce fléau est également encouragée par la pauvreté des parents, incapables de subvenir aux besoins vitaux des enfants, l’arrivée de nouveau riches dans la zone à cause du pétrole, le monnayage des points dans l'enseignement, plaçant des élèves mineures à la merci des sollicitations des enseignants adultes, sans scrupules. .

Par ailleurs, le harcèlement sexuel dans le milieu de l'emploi où les responsables des entreprises conditionnent l'embauche à des satisfactions sexuelles, parfois avec des jeunes filles mineures ayant interrompu leur scolarité et cherchant à subvenir seules à leurs besoins.

Ces échanges se font le plus souvent sans prendre des précautions contre la propagation du VIH/SIDA et les IST ainsi que des grossesses précoces indésirables.

Il en est de même dans les milieux des universités et instituts d'enseignement supérieur où les réussites sont échangées contre les satisfactions sexuelles. On appelle ça: S/18… Comprenez « string contre 18/20 ».

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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 20:04
Dépravation des mœurs à Moundou!

Moundou baigne de plus en plus dans la vulgarité et les extravagances d’une jeunesse en plein délire et avide de sensations fortes. La célébrité des « Petits Coins » non officiels, aux dénominations asiatiques ou afghans , passe actuellement par la programmation à des heures indues des scènes de sexes publiques qui mettent en exergue des jeunes garçons et filles, visiblement ivres, cigarette à la bouche, et alléchés par l’appât du gain.

On se croirait à Sodome ou à Gomorrhe. Pour 5000 ou 10.000 F.cfa, des jeunes gens sont prêts à tout pour décrocher la timbale. Des séances de Kama sutra (ensemble de positions sexuelles) se font en live pour satisfaire la libido de quelques clients dévergondés et aux yeux pétillants de perversion débordante. De quoi susciter une séance d’exorcisme.

Tout cela s’accompagnent par des modèles pervers : dos nus, bustier, bras cassés, micron-jupe, collant, petites culottes, mini-robes. Tous ces modèles traduisent l'indécence et l'inconscience de la femme d'aujourd'hui et sont sources du harcèlement sexuel qui s’implante dans notre société.

En tout cas, la nuit, dans ces « Petits Coins » qui flirtent avec les quartiers moins éclairés, tous les efforts déployés dans le cadre de l’éducation socio familiale dans la zone, sont battus en brèche. Les pouvoirs publics sont interpellés sur la dépravation des mœurs qui galope dans ces « Petits Coins » qui sont bien connus des autorités car certains hommes de tenues et certains cadres y fréquentent. Le mal se généralise à une vitesse supersonique. S’il vous plait, veuillez transmettre le message au Commissaire de Police de Moundou et au maire au cas où ils ne seraient pas au courant.

Il n’y a pas longtemps, dans un bar non loin du commissariat centrale , où des personnes s’étaient retrouvées pour une collation après un mariage, un jeune couple s’est permis de se livrer à des ébats sexuels en public..

Si l’on n’y prend garde, la généralisation de ces faits pourrait déboucher sur un désordre social généralisé. Tout a commencé par quelques faits anodins qui ont progressivement pris de l’ampleur. Les chansons obscènes, les boites ou le sexe et l’alcool se disputent la raison ont été tolérées, alors qu’elles étaient l’alerte d’une dégression morale citoyenne. Le phénomène s’est aggravé avec le grand saut effectué par certaines femmes qui osaient porter des habits indécents sous les regards des « pétroliers » en déphasage avec les bonnes mœurs. Les services d’ordre n’ont pas sévi comme il le fallait.

Aujourd’hui, le mal a pris de l’ampleur. Les night clubs et les salons VIP en prolifération dans la ville viennent de prendre le relais avec des séances de coït publiques.

Ces salons VIP qui regorgent de proxénètes sont fréquentés par des pédophiles discrets (tchadiens, camerounais, nigérians, européens, etc.) qui y passent le plus clair de leur temps, alors que des tâches multiples les attendent dans les bureaux.

Hauts lieux de débauche, ils attirent les jeunes filles qui espèrent y trouver des adultes vicieux qui usent de leurs atouts financiers pour fuir l’accoutumance conjugale. La pénombre artificiellement créée favorise des rapports sexuels discrets opérés avec un courage exceptionnel dans un cadre qui exclut la honte et le discrédit.

En ces lieux, la loi Portella est mise entre parenthèses. Seuls comptent : le spectacle, le profit et le plaisir. Meurdé avec BEKAS

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1 février 2016 1 01 /02 /février /2016 20:44
Au Tchad, la lutte contre le terrorisme touche les mariages

Face à la menace terroriste, les autorités tchadiennes ont pris des mesures pour renforcer la sécurité. Des mesures qui ont des incidences sur la vie quotidienne. C’est le cas pour les mariages, où les festivités ont été drastiquement réduites.

Les youyous des parents accueillent le couple de mariés qui sortent de la grande salle de la mairie ce samedi. Comme depuis plusieurs semaines, c’est un petit comité composé des témoins et des proches parents qui est admis dans la salle des mariages, non sans avoir été fouillé. « Nous acceptions, de part et d’autre une dizaine côté époux et mariée. Pas au-delà », explique le colonel, directeur de la police municipale de Ndjamena.

Dans la foule des parents qui attendent dehors, on apprécie la mesure : « Jusque-là, je peux dire qu’il y a une amélioration parce que chaque entrée est filtrée et fouillée. Il ne faut pas baisser la garde. » Et quand on demande à ce jeune marié ce que ça fait de dire « oui » à son conjoint en petit comité, alors que ce n’est pas la tradition au Tchad, il répond : « On ne choisit pas n’importe qui pour être témoin à son mariage. C’est autant de parents, autant d’amis. Qu’ils soient dehors ou à l’intérieur de cette salle, on a dit devant M. le maire en sortant : » On est avec les parents. Il n’y a pas de problème. » »

Dans les banquets organisés le soir, les détecteurs de métaux ont aussi fait leur apparition. « Faire la fête ne doit pas nous empêcher de rester vigilants », lance un des organisateurs de la cérémonie. RFI

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31 janvier 2016 7 31 /01 /janvier /2016 10:33
 Chronique de Meurdé : Elle trompe son mari ... avec moi

Envie de parler ce soir….

Lorsque j'ai vu cette femme pour la première fois dans une boutique à Moursal, je me suis senti tombé dans ses yeux, un véritable amour pour ces deux yeux bleus, ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Et puis tous ces points communs qu'on a ensemble... Bref, on s'est rapproché, on sortait de plus en plus ensemble, sans ne laisser rien paraître d’ambiguë au début. Je savais très bien qu'elle avait un mari, elle m'en parlait suffisamment, mais j'avais vraiment l'impression de l'attiré, et c'était bien évidement réciproque. Son mari n'étant dans la même ville (Doba) que nous (Ndjaména) et moi n'était pas en couple, je ne me suis rien interdit la concernant.

Disons que j'ai mis le paquet pour la séduire, je prenais ça comme un jeu, un entraînement, histoire de voir si on ne perd pas la main, et puis je pensais vraiment que c'était perdu (elle semblait vraiment attaché à son mari)

Et un soir, j’essaie de l'embrasser. Je me suis pris ce soir-là un énorme mur avec une cible à zéro point en plein milieu. Elle s'était reculée … mais la seconde d’après m'a enlacé fortement (donc finalement la cible en valait 1000)

Nous nous sommes revu rapidement après ça, toujours le soir, et chaque soir, nous nous enlacions. Puis un soir elle vient chez moi, on s'embrasse, on couche ensemble, elle passe la nuit entière avec moi.

Maintenant, nous nous embrassons presque à chaque fois que l'on se voit, et nous nous voyons très souvent … Une fois sur deux, elle m'avoue qu'elle m'aime … mais reste avec son mari. Son explication : elle se sent coupable, ne regrette pas, mais attends simplement que ça lui retombe dessus. Autre dit, elle attend que son mari l'apprenne, je pourrais très bien accélère les choses si j'étais un salaud (la notion de salaud est à prendre avec des pincettes ici, parce qu'au vu de mes actions, certains penseraient que j'en suis un, mais je n'ai aucune obligation de mon côté concernant l'amour)

Je me retrouve dans une situation qui peu à peu échappe à mon contrôle. Elle ne veut pas lâcher son mari, dit qu'elle l'aime. Elle m'envoie des messages du genre "tu me manques" alors que son mari est avec elle. J'aimerai l'avoir pour moi, me dire qu'elle ne pense qu'à moi, mais ça n'est pas le cas et je sens que ça me mine de plus en plus le moral.

J'aimerais tout arrêter, mais la vérité et que je l'aime peut être plus que je ne le pensais. Résultat, je me retrouve comme un con, à courir après une carotte déjà mangée. J'aurai presque préféré qu'il ne se passe rien entre nous.

Alors bien sûr, c'est pas vraiment sympa d'avoir foncée sur une femme en couple, mais je pense que ça n'était pas à moi de freiner notre relation, mais à elle de le faire. J'essaie subtilement de lui passer l'idée de lâcher son mari (oooh le mauvais garçon) mais c'est difficile ...

Maintenant ? Est-ce que je devrais tout arrêter ? Attendre ?

Merci de m'avoir lu. Que les mariés ne me regardent pas avec un mauvais œil !

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23 janvier 2016 6 23 /01 /janvier /2016 00:34
Chronique de Meurdé : Relation à distance

Voilà ! Moi c’est Amalia Kou-lengar. J’ai fait la connaissance d’un homme sur un site de rencontre avec un pseudo bizarre en Ngambaye « Djélamdé ». On s'envoie des photos et lui me demande des photos de plus en plus osées. On discute pas mal au téléphone, on s'envoie des sms hyper chauds. Mais à part le sexe, on n'a pas grand-chose en commun.

Je lui ai demandé ses coordonnées mais il refuse de me les donner. Il est clair dans ses intentions comme moi au départ. Il veut tirer son coup et plus si affinité.

Mais le hic , c'est que je me suis attachée à cette petite bête là. Je veux inverser la tendance et qu'il s'entiche de moi. Lui n'attend qu'une chose, c'est de me rendre visite pour se vider les bourses. Je ne veux pas être le coup d'un soir, alors je le fais mariner. En attendant, il fantasme sur mes photos et là il est en colère parce que je ne lui ai pas envoyé ce qu'il demandait ce que je risque de faire prochainement car je ne peux rien lui refuser

J'avoue que je suis plus demandeuse que lui de contact. Lui se contente de la relation basé sur le sexe qu'on avait posé au départ. J'aimerai savoir si je peux inverser la tendance ou c'est impossible dans ce genre de relation .Je vais finir par le faire venir chez moi mais je sais qu'il va disparaitre illico et qu'il va me briser le coeur .

Que faire pour que ma relation change d'optique et devienne celle d'un vrai couple ? Est-ce vraiment possible à distance ?

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10 janvier 2016 7 10 /01 /janvier /2016 12:24
Chronique de Meurdé : Portraits de dragueurs

La Bruyère dans ses fameux caractères nous a brossé en d'intemporels portraits, un échantillonnage des types d'individus qu'il a pu rencontrer à son époque et que nous pourrions rencontrer à la nôtre et même à l'avenir ...

Mais il ne s'est pas beaucoup étalé à décrire les comportements amoureux de ses contemporains ..; alors ...Amusons nous à les décrire ...

Exemple : Le dragueur rapide et pressé .

Vous êtes tranquillement assise seule dans un endroit public (gare , bar ,train , parc ,restaurant ...) .Le dragueur rapide évalue la situation et vous juge ,triste ,esseulée et en déduit aussitôt que vous vous ennuyez .

Il entre dans votre périmètre, engage la conversation et prend vite des manières familières et déplaisantes qui violent votre espace confidentiel (environ 75 cm entre vous et lui )il vous serre de près ,vous imposant son haleine, son toucher (il vous tâte le bras comme si vous étiez déjà intimes ,ou de vieux amis)ses arguments sont ridicules ,il se moque bien de ce que vous êtes car la solution à votre ennui consiste simplement à être avec lui et votre qu'importe qu'il soit âgé ,ou que son corps ne soit pas un cadeau ,non plus que sa présence importune et non souhaitée ,la solution à votre apparente morosité est son bon coup de rein (ou de queue au choix?)

Car bien sûr, il ne doute de rien , Sa confiance en lui est inébranlable ,il est sûr de vous coucher ce soir dans son lit .

Que faites-vous ?

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